Les différentes traditions humaines choisissaient soigneusement l’emplacement de leurs constructions sur des aspects non seulement topographique et géologique mais aussi cosmo tellurique et astronomique.
Parlons des peuples du néolithique, puis de la civilisation celte qui plaçaient les mégalithes suivant les énergies et les courants telluriques.

Les bâtisseurs de pyramides aux cathédrales, des temples aux grands monuments, ont utilisés l’art du trait appelé « tracé régulateur » pour relier l’homme et l’architecture à son environnement.
Ils ont su tirer un enseignement de cette géométrie naturelle pour allier la mesure et la proportion avec celles du lieu à édifier, cette géométrie ayant pour finalité de donner à la construction la forme, l’organisation et la cohérence les plus adaptées au développement du Vivant.

Au cours du XXème siècle, les architectures modernes ont rompu avec les canons du classicisme, avec le nombre d’or et avec une certaine harmonie.
Elles ont créés des ondes de formes nuisibles autant pour les habitants que pour leurs voisins.

Les matériaux utilisés pour ces projets sont aussi des sources de nuisances majeures. Ils coupent la circulation cosmo tellurique dans le bâtiment et leur résultante vibratoire est basse.
Béton armé, plastique, mousse PPU, résine, métal et verre sont autant de produits qui ne « respirent » pas car ils sont étanches. Leur niveau de vie est faible et leur esthétique discutable.

Construire des dômes géodésiques, au-delà des qualités architecturales et structurelles étonnantes, nous rappelle aux formes présentent dans la nature et dans tout l’univers, des atomes aux planètes.
Construire des habitats harmonieux ou réharmoniser ce qui le nécessite permet d’œuvrer à l’équilibre entre les forces cosmiques et telluriques sur Terre.

Pour aller plus loin…

La géobiologie sacrée est une des branches de la géobiologie qui étudie les sites « sacrés » : lieux de cultes anciens voire antiques, abbayes, sites mégalithiques, églises romanes et gothiques, ermitages, sources miraculeuses, etc.
Ces bâtiments et lieux étaient construits ou aménagés en utilisant notamment des principes d’architecture et de géométrie sacrée.

Les solides de platon

Un solide de Platon est l’un des cinq polyèdres à la fois réguliers et convexes. En référence au nombre de faces (4, 6, 8, 12 et 20) qui les composent, ils sont nommés couramment tétraèdre, hexaèdre ou cube, octaèdre, dodécaèdre et icosaèdre.

Platon (-427/-347 av. JC) les a reliés aux éléments naturels que sont le Feu, l’Air, l’Eau, la Terre, l’Ether

Les dômes que je fabrique sont issus de l’Icosaèdre, relié à l’élément Eau.

Le Nombre d’Or (φ) :

Le nombre d’or est une proportion, définie initialement en géométrie comme l’unique rapport a/b entre deux longueurs a et b telles que le rapport de la somme a + b des deux longueurs sur la plus grande (a) soit égal à celui de la plus grande (a) sur la plus petite (b).

C’est à dire lorsque (a+b)/a = a/b

  • Le nombre d’or est l’une des proportions les plus souvent associées aux proportions sacrées. Ce rapport, d’environ 1,618.
  • Le nombre d’or est le seul rapport qui met en résonance la partie avec le tout. C’est pour cette raison que ce rapport est souvent appelé La divine proportion.
  • φ est un rapport naturellement présent dans de nombreuses constructions géométriques
  • Le nombre d’or est certainement le seul nombre pour lequel on peut faire coïncider une progression géométrique et une progression arithmétique.

Les anciens préféraient faire des mathématiques à travers la géométrie. Il est possible de faire de nombreuses choses avec juste une équerre et un compas. Mais le monde actuel préfère rendre les mathématiques abstraites en usant et abusant d’algèbre. Qui est capable de se représenter ce qu’est une racine carrée ? Et bien c’est tout simplement la longueur de la diagonale d’un carré !

Dans l’Antiquité, les philosophes comme Platon ont avancé que le nombre d’or représentait un principe fondamental de l’univers. De plus, ce nombre est souvent utilisé dans la construction de temples, de statues et de structures sacrées dans des civilisations telles que les Grecs anciens et les Égyptiens.

Le rectangle d’or

On peut construire ce rapport dans un rectangle d’or. (Le format carte de crédit !)

La construction s’effectue en construisant un carré. Puis en piquant un point au milieu du côté du carré. Là on place son compas. On l’ouvre sur la distance au coin et on obtient ainsi une longueur de côté qui permet de faire un rectangle d’or.

Géode (icosaèdre) et nombre d’or

Dépouillement, simplicité, harmonie, beauté, sont l’apanage de la géométrie et en particulier de la géométrie du « nombre d’or » qui nous donne une certaine idée de la perfection.

Suite de Fibonacci et spirale d’or

En construisant une structure faite uniquement de lignes droites (Très masculines), il est possible de construire une superbe spirale avec une belle courbe (très féminine).
Il s’agit à la base d’un rectangle d’or qui est découpé en un carré et ….. un autre rectangle d’or ! (On reconnait ici le côté fractal du nombre d’or !)

Il suffit de faire un cercle au compas dans chaque carré. (de la longueur du côté du carré)… et voilà, il y a une superbe spirale qui est ainsi construite.

La spirale d’or est une manifestation des proportions sacrées. Elle peut être vue dans la disposition des galaxies, dans les coquilles de certains mollusques, ou même dans les spirales des fleurs. Cette spirale suit la progression des puissances du nombre d’or et symbolise l’évolution, la croissance et l’harmonie naturelle.

Cette spirale peut aussi être construite de manière arithmétique grâce à la suite de Fibonacci. La suite de Fibonacci est une suite d’entiers dans laquelle chaque terme est la somme des deux termes qui le précèdent. Elle commence généralement par les termes 0 et 1 (parfois 1 et 1) et ses premiers termes sont: 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, etc.

Les quotients de deux termes consécutifs de la suite de Fibonacci sont les meilleures approximations du nombre d’or. (144/89 = 1.617977)

On retrouve cette spirale très largement dans l’art et l’architecture

Le Nombre Pi (π)

Le nombre π, qui est la proportion entre la circonférence d’un cercle et son diamètre (environ 3,14159), est également vu comme une proportion sacrée dans certaines traditions.

Le cercle est une figure parfaite dans de nombreuses traditions spirituelles, et son rapport (π) est perçu comme un lien avec l’ordre cosmique. Il est l’une des premières formes tracées par les humains. Il n’a ni commencement ni fin, ce qui en fait un symbole universel d’éternité, de perfection, de divinité, d’infini, … Il représente les cycles du monde naturel. Signe d’unité, le cercle est la forme préférée pour l’égalité, ce que montre l’exemple de la table ronde du roi Arthur.  

 Le cercle, probablement la plus significative des formes, est présent partout dans la nature, alors que le carré est conçu et projeté par l’homme. Le cercle représente l’union du terrestre et du divin. La croix cerclée, présente sur de nombreuses peintures religieuses, est tenue pour un exemple de quadrature du cercle. 

 Proportions sacrées

Les proportions sacrées, qu’elles soient liées au nombre d’or, à Pi ou d’autres rapports mathématiques et géométriques, sont considérées comme des symboles de l’harmonie cosmique et spirituelle, et leur étude traverse l’architecture, l’art, la nature et la philosophie.

Les proportions sacrées font référence à des rapports et des proportions qui sont considérées comme symboliques, mystiques ou divines dans diverses cultures, philosophies et traditions religieuses.

  • Les pyramides d’Égypte sont souvent étudiées à travers le prisme des proportions sacrées, notamment la proportion d’or est présente dans leur géométrie.
  • Le Parthénon : L’un des exemples les plus célèbres d’architecture grecque antique qui applique les proportions sacrées dans sa structure. Le Parthénon a été construit en utilisant la proportion d’or pour symboliser l’harmonie entre l’homme, la nature et les dieux.  
  • Les cathédrales: Les cathédrales médiévales ont été conçues selon des principes géométriques précis, avec des proportions sacrées basées sur le nombre d’or et d’autres rapports considérés comme sacrés.

Platon, dans son ouvrage « Le Timée », parle d’une « proportion divine » qui régit l’harmonie du cosmos. Cette proportion est liée aux idées de perfection et d’ordre dans l’univers. Dans ce contexte, il est suggéré que les proportions parfaites sont les bases de la structure du monde matériel et spirituel.

Choix des matériaux

Les dômes géodésiques sont souvent utilisés dans des projets de constructions écologiques ou durables. La géobiologie, dans sa dimension environnementale, prône également l’harmonie avec la nature et le respect des écosystèmes locaux. Construire des habitations en forme de dôme, utilisant des matériaux naturels et des principes géométriques de conception équilibrée, peut contribuer à créer des espaces sains qui respectent à la fois les besoins humains et ceux de la Terre.

Les matériaux naturels (comme le bois, la paille, ou la laine de mouton) utilisés dans la construction de certains dômes géodésiques sont souvent privilégiés par les géobiologues qui favorisent des matériaux à faible impact énergétique et respectueux de l’environnement.

Les matériaux respectant les cycles naturels de la Terre, sa capacité à pourvoir à nos besoin de manière juste et équilibrée, ont une qualité vibratoire bien meilleure que de nombreux matériaux modernes plus usuels dans le bâtiment.

De plus, la manière dont ils vont être extrait et transformé imprime une mémoire dans la matière qui aura des conséquences durant toute la vie du matériau. La matière enregistre et stocke l’information énergétique.

Chaque élément terrestre, donc chaque matériau, est relié à une vibration, une couleur, une information et savoir l’utiliser permet d’augmenter considérablement la qualité d’une construction.
(Par exemple le châtaigner est relié à Jupiter, à l’élément Feu, à la vérité et la justice)

Bio-orientation et polarité de matériaux

Les matériaux possèdent une « mémoire électromagnétique ». Ils mémorisent le champ magnétique terrestre (axe nord/sud ; est/ouest ; terre/ciel) durant leur vie pour les arbres, à un moment T pour d’autres matériaux (souvent lorsque la matière refroidit et se fige).

Lorsque le bois est exposé à un champ électromagnétique externe, il enregistre cette influence sur ses propriétés électriques ou magnétiques. L’exposition au champ magnétique terrestre provoque des changements dans l’alignement des molécules d’eau ou dans la réorientation de certaines structures biologiques.

Les anciens bâtisseurs utilisaient cette polarité de la matière notamment avec la pierre :

  • dans les maisons, pour contenir les influences souterraines et telluriques négatives (cours d’eau, réseaux, etc.) et en réduire voire annuler leur impact sur les habitants. (En complétant parfois avec des formes et géométries augmentant ainsi l’efficacité du traitement)
  • dans les églises et les temples : il est peu d’églises romanes n’ayant pas été construites en utilisant les différents vecteurs de cette polarité. Augmentant ainsi la descente des énergies cosmiques (ou au contraire telluriques selon les lieux), concentrant l’énergie à l’intérieur de la construction, etc.

Le bois peut « souffler » ou « respirer » de manière visible et auditive à travers ses interactions avec l’humidité, la température, les forces mécaniques, ou même dans le cadre de son utilisation dans des instruments de musique ou des structures architecturales. Cette capacité à réagir aux stimulis environnementaux souligne la nature dynamique et vivante du bois, même après que l’arbre ait été abattu.

Les émissions dues aux formes

Toutes les formes perceptibles, directement ou non, existant dans notre environnement émettent des ondes. Ces champs d’énergies interagissent entre eux sur plusieurs niveaux : physique, psychique et spirituel.

Une onde de forme est la résultante de l’interaction entre la structure géométrique d’un objet et du champ magnétique terrestre. De cette information capturée par celle-ci, est émise une nouvelle onde constituée de ces propres caractéristiques.

Comme nous l’avons vu précédemment, les anciennes civilisations et nos ancêtres maîtrisaient parfaitement ce domaine. Afin d’attirer à eux une énergie propice à leurs besoins, ils ont édifié des constructions en résonance avec les constantes de l’univers. Ainsi, les pyramides, les porches d’églises, les arcs de triomphe sont des chefs d’œuvres de cet art.

L’utilisation des émissions dues aux formes influe sur le taux vibratoire de notre quotidien.

Propriétés protectrices contre les champs électromagnétiques (EMF)

    Les dômes géodésiques peuvent réduire l’influence des habitants aux perturbations électromagnétiques et des radiations environnantes. La forme et la structure du dôme offre une protection naturelle contre les champs électromagnétiques extérieurs.

    En effet, la forme géodésique aide à réduire les résonances négatives produites par les appareils électroniques, en créant un champ énergétique interne plus équilibré.

Les échanges Terre et Ciel sont une base de la vie sur Terre. Quand les énergies telluriques prennent le dessus sur les énergies cosmiques, ou que les forces cosmiques n’arrivent pas à entrer en terre, l’équilibre est rompu et nous constatons des perturbations.

La forme géodésique et l’harmonie énergétique & naturelle

La structure du dôme géodésique est en harmonie avec la géométrie naturelle de la Terre. Sa forme sphérique ou semi-sphérique, favorise une circulation fluide des énergies dans l’espace intérieur, réduisant ainsi les tensions énergétiques.

Les habitations devraient être construites de manière équilibrée entre les énergies cosmiques et telluriques. Les dômes géodésiques, en raison de leur forme arrondie et fluide, sont  une forme idéale pour créer un espace où les énergies naturelles peuvent circuler librement, favorisant ainsi la santé et le bien-être.

Choix de l’emplacement

Les dômes géodésiques, en étant conçus pour être autosuffisants et intégrés au paysage, peuvent être placés de manière stratégique pour optimiser les conditions géobiologiques, en évitant les zones de perturbation géobiologique (telles que des failles géologiques, des courants d’eau souterrains, ou des champs électromagnétiques perturbants).

Il est particulièrement important d’analyser le terrain avant implantation et de cartographier les nuisances telluriques, détecter les potentialités de mémoires négatives sur le lieu, repérer les infrastructures extérieures actuelles ou en projet et analyser leur potentiel impact sur l’implantation d’un dôme..
Ainsi nous pourrons implanter le dôme sur une zone où l’ambiance géophysique est favorable.

Quadrilatère solticial

Pendant longtemps l’homme a construit à partir d’éléments naturels qu’il voyait dans son environnement quotidien, le relief, l’eau, le soleil, la lune. Il déterminait un caneva lui permettant d’intégrer les paramètres solaires (levers et couchers du soleil aux solstices et equinoxes) dans la construction. La prise en compte des proportions du bâtiments en rapport à la course solaire permettait de mettre en harmonie le lieu avec les énergies solaires et cosmiques, et ainsi les dynamiser.

Chaque lieu possède une empreinte solaire définie par sa latitude, avec des caractéristiques géodésiques précises qui permettent de déduire des mesures et une proportion. Le constituant de base est représenté par un quadrilatère solsticial (un champ dont les angles coïncident avec les levers et les couchers solaires solsticiaux, soit 4 angles), en l’utilisant, il permettra par exemple de caler une habitation en harmonie avec son support, et en osmose avec son environnement.

Grâce à ses proportions et ses orientations spécifiques, l’objectif et l’intention sera d’être en résonnance avec le terrain et non de le dominer…

Ces techniques solsticiales étant connues depuis la plus haute antiquité, on en retrouve la trace aussi bien dans les mosquées que dans les temples grecs, hindous ou dans les mégalithes bretons.

Cela permet d’intégrer la construction dans le temps et l’espace.